de Jean-Luc Raharimanana
(extraits de Rêves sous le linceul, Nour et Le Puits)
Jean-Luc Raharimanana transmet les maux du passé par les mots du présent. « Nos mémoires mortes, nous serions à jamais apatrides »,
L’oeuvre de cet l’écrivain malgache est faite d’échos, de réseaux, de liens tissés d’un texte à l’autre qui font la part belle aux images et connotations, témoignant d’une appréhension du monde quasi exclusivement sensitive et sensible.
Montage des textes : Cécile Cotté
Création musicale et sonore : Stéphane Scott
Avec les voix de Virginie Brinker et Cécile Cotté
Le Puits a fait l’objet d’une lecture-spectacle le 15 juin 2012 à New York University en France dans le cadre d’un colloque sur la transmission. L’enregistrement s’est fait ensuite en studio.
2012 NewYork University in Paris